Modification de Pyrénées, de Troumouse et Gavarnie au Monte Perdido (été 2009) littéraire j5

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Falla de Pelay : 8h de randonnée ; 770 m de dénivelée ; Monte Perdido : 1200 m de dénivelée.
 
Falla de Pelay : 8h de randonnée ; 770 m de dénivelée ; Monte Perdido : 1200 m de dénivelée.
  
Grand beau, malgré la fraîcheur matinale !  
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Grand beau, malgré fraîcheur matinale ! Patrice emmène une cordée de neuf décidés au Mont Perdu (CR par Joëlle).
  
[[Image:Pelay02.jpg|thumb|right|Champ d'iris]]
 
 
==== Matinée ====
 
==== Matinée ====
  
 
Du refuge, nous regardons un moment les copains s’éloigner vers le Mont Perdu puis nous commençons la descente dans le Canyon d’Ordesa. La météo glacée annoncée la veille est en fait bien agréable. Pas de vent. Quelques nuages qui voyagent.
 
Du refuge, nous regardons un moment les copains s’éloigner vers le Mont Perdu puis nous commençons la descente dans le Canyon d’Ordesa. La météo glacée annoncée la veille est en fait bien agréable. Pas de vent. Quelques nuages qui voyagent.
  
[[Image:Pelay05.jpg|thumb|left|Le cirque de Soaso]]
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[[Image:Pelay02.jpg|thumb|right|Champ d'iris]]
 
Premiers 300 m de dénivelée descendus rapidement dans un sentier « caillasseux » à travers les rochers. Paysage minéral constitué de falaises ravinées, colonisé par de gros chardons et de mignonnes fleurs roses. Ce sentier, que nous suivrons jusqu’à l’heure du déjeuner se polisse. Il s’accroche à des pentes qui s’étirent sous les falaises. Le paysage est grandiose. Le cirque du fond de la vallée s’ouvre sur une immense pelouse verte où serpentent en parallèle un large chemin et un ruisseau alimenté par la cascade qui surgit d’entre les échancrures des falaises. Des vaches y paissent paisiblement. Le versant à l’adret, plus exposé au soleil est un tapis jaune. Nous évoluons sur le versant de l’ubac couvert d’iris bleus, de la flore des Pyrénées et des timides edelweiss ! Plusieurs milans surgissent de derrière les pitons et s’élèvent dans les airs à la faveur des courants ascendants… comme nos plastiques au col de la Géla ! Un isard se repose puis se dresse, observe et disparaît. Quelques marmottes s’enfilent rapidement sous les rochers. À mesure que l’on avance, des sapins puis quelques feuillus isolés se dressent sur les pentes jusque là bien dénudées. La vallée se resserre, les falaises se rapprochent, les sapins se densifient. Le ruisseau enjambe des ressauts de roches et se déverse dans des baignoires semblables à des lacs de barrages. Selon la couleur du fond, la teinte de l’eau de ces cuvettes évolue du bleu au cuivré.  
 
Premiers 300 m de dénivelée descendus rapidement dans un sentier « caillasseux » à travers les rochers. Paysage minéral constitué de falaises ravinées, colonisé par de gros chardons et de mignonnes fleurs roses. Ce sentier, que nous suivrons jusqu’à l’heure du déjeuner se polisse. Il s’accroche à des pentes qui s’étirent sous les falaises. Le paysage est grandiose. Le cirque du fond de la vallée s’ouvre sur une immense pelouse verte où serpentent en parallèle un large chemin et un ruisseau alimenté par la cascade qui surgit d’entre les échancrures des falaises. Des vaches y paissent paisiblement. Le versant à l’adret, plus exposé au soleil est un tapis jaune. Nous évoluons sur le versant de l’ubac couvert d’iris bleus, de la flore des Pyrénées et des timides edelweiss ! Plusieurs milans surgissent de derrière les pitons et s’élèvent dans les airs à la faveur des courants ascendants… comme nos plastiques au col de la Géla ! Un isard se repose puis se dresse, observe et disparaît. Quelques marmottes s’enfilent rapidement sous les rochers. À mesure que l’on avance, des sapins puis quelques feuillus isolés se dressent sur les pentes jusque là bien dénudées. La vallée se resserre, les falaises se rapprochent, les sapins se densifient. Le ruisseau enjambe des ressauts de roches et se déverse dans des baignoires semblables à des lacs de barrages. Selon la couleur du fond, la teinte de l’eau de ces cuvettes évolue du bleu au cuivré.  
  

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