Différences entre les versions de « Raquette en Vanoise (hiver 2011)/littéraire/j3 »
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==Mardi 15 mars== | ==Mardi 15 mars== | ||
| + | === Le refuge de la Dent Parrachée, 12 km, 7h00, +400 m, -1500 m === | ||
| + | Départ à 9 heures du centre, direction le télésiège du Grand Jeu. Tout le monde est à l’heure. Nous attendons 9 heures 30 pour l’ouverture du télésiège des Armoises. Nous voilà à 2800 mètres d'altitude et nous partons sous le vent chargé d’un peu de neige, mais pas trop de difficultés. | ||
| − | + | Nous passons sous la Dent Parrachée, descendons et remontons au gré des accidents de terrain, et arrivons à la verticale du refuge, où nous sommes ravis de pouvoir nous protéger un peu, dans un local chauffé par Franck le gardien − les années se suivent mais…. | |
| − | + | Les pique-niques sortent des sacs, et nous mangeons tranquillement en attendant la soupe chaude proposée par le gardien. C’est son aide népalais qui nous apporte le faitout fumant et nous nous régalons avec ce potage de légumes-dessert. Puis vient le café arrosé de génépi : le bonheur tient à peu de choses. | |
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| − | Nous passons sous la Dent Parrachée, descendons et remontons au gré des accidents de terrain, et arrivons à la verticale du refuge, où nous sommes ravis de pouvoir nous protéger un peu, dans un local chauffé | ||
| − | Les pique-niques sortent des sacs, et nous mangeons tranquillement en attendant la soupe chaude proposée par le gardien. C’est son aide népalais qui nous apporte le faitout fumant | ||
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[[Image:2011 Aussois 11.jpg|thumb|left|Le gypaète ....]][[Image:2011 Aussois 10.jpg|thumb|right|.... barbu]] | [[Image:2011 Aussois 11.jpg|thumb|left|Le gypaète ....]][[Image:2011 Aussois 10.jpg|thumb|right|.... barbu]] | ||
| + | Nous quittons le refuge, survolés à quelques mètres par un [[wp:gypaète barbu|gypaète barbu]]. C’est majestueux et exceptionnel car seuls deux ou trois couples sont recensés dans la vallée. | ||
| − | + | Nous descendons vers le pont de la Sétéria, mais les jambes sont un peu lourdes et surtout les pentes sont fortes. Nous en venons à bout et arrivons au Plan d’Amont où les chamois nous attendent sur l’autre versant : ils sont loin et nous estimons le nombre à une quinzaine. | |
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| + | Nous continuons jusqu’au barrage de Plan d’Aval que nous traversons et partons en sous-bois. Nous rattraperons plus bas le ''chemin d’été'', le sous-bois nous permettant d’éviter les zones avalancheuses. Nous déchaussons en arrivant sur les prés exempts de neige et sommes rendus vers 16 heures 50. Une pré AG nous permet de souffler avant la douche. | ||
===La soirée=== | ===La soirée=== | ||
| − | Apéritif au vin blanc de Suresnes | + | Apéritif au vin blanc de Suresnes − eh oui il y a du vin blanc dans le Neuf Deux −, puis à la cuvée Béthanie mélange de chardonnay blanc et de savagnin du Jura, bien accompagnés comme d’habitude par les charcuteries et autres amuse-bouches. |
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| + | Repas composé de cake lard jambon, omelette aux champignons ratatouille, salade, fromage de la région, choux Chantilly. Coucher tôt ! | ||
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Version actuelle datée du 24 mars 2011 à 17:52
Mardi 15 mars[ ]
Le refuge de la Dent Parrachée, 12 km, 7h00, +400 m, -1500 m[ ]
Départ à 9 heures du centre, direction le télésiège du Grand Jeu. Tout le monde est à l’heure. Nous attendons 9 heures 30 pour l’ouverture du télésiège des Armoises. Nous voilà à 2800 mètres d'altitude et nous partons sous le vent chargé d’un peu de neige, mais pas trop de difficultés.
Nous passons sous la Dent Parrachée, descendons et remontons au gré des accidents de terrain, et arrivons à la verticale du refuge, où nous sommes ravis de pouvoir nous protéger un peu, dans un local chauffé par Franck le gardien − les années se suivent mais…. Les pique-niques sortent des sacs, et nous mangeons tranquillement en attendant la soupe chaude proposée par le gardien. C’est son aide népalais qui nous apporte le faitout fumant et nous nous régalons avec ce potage de légumes-dessert. Puis vient le café arrosé de génépi : le bonheur tient à peu de choses.
Nous quittons le refuge, survolés à quelques mètres par un gypaète barbu. C’est majestueux et exceptionnel car seuls deux ou trois couples sont recensés dans la vallée.
Nous descendons vers le pont de la Sétéria, mais les jambes sont un peu lourdes et surtout les pentes sont fortes. Nous en venons à bout et arrivons au Plan d’Amont où les chamois nous attendent sur l’autre versant : ils sont loin et nous estimons le nombre à une quinzaine.
Nous continuons jusqu’au barrage de Plan d’Aval que nous traversons et partons en sous-bois. Nous rattraperons plus bas le chemin d’été, le sous-bois nous permettant d’éviter les zones avalancheuses. Nous déchaussons en arrivant sur les prés exempts de neige et sommes rendus vers 16 heures 50. Une pré AG nous permet de souffler avant la douche.
La soirée[ ]
Apéritif au vin blanc de Suresnes − eh oui il y a du vin blanc dans le Neuf Deux −, puis à la cuvée Béthanie mélange de chardonnay blanc et de savagnin du Jura, bien accompagnés comme d’habitude par les charcuteries et autres amuse-bouches.
Repas composé de cake lard jambon, omelette aux champignons ratatouille, salade, fromage de la région, choux Chantilly. Coucher tôt !