Belle-Île-en-Mer (printemps 2004) littéraire j7
Samedi 1er mai : retour[ ]
Nous devons prendre le bateau à 9 heures 30, et nous pouvons descendre allègrement, car nous avons déposé nos bagages dans une camionnette-taxi. L'embarquement n'est plus une découverte et nous avons nos habitudes sur le bateau. Le départ est émouvant : très rapidement, lorsque le bateau s'éloigne, le port paraît tout petit, avec ses quelques maisons accrochées sur les deux versants des collines, et, de l'autre côté, Quiberon apparaît, au contraire, comme une « grande ville ». Joyeux brouhaha au débarquement ; les chauffeurs des voitures sont rapidement pris en charge par la navette de Madame Barbie et nous avons à peine le temps de faire un peu de shopping qu'ils reviennent ; les coffres s'ouvrent, les sacs et les passagers prennent place. Des « au revoir » rapides, et des « à bientôt » réconfortants. Ghislaine et moi prenons place dans la voiture de Marc et Marie-Paule, qui nous ramène sans problème dans nos foyers respectifs.