Modification de Cracovie et Tatras (été 2010) littéraire

De Cracovie à Zakopane

Départ à 8 heures de l'hôtel Cracovia pour la mine de sel de Wieliczka. Moi, je reste encore un peu pour mettre au net les papiers du séjour et faire le trajet tranquillement. Je retrouve la grand route en direction de Zakopane et ses embouteillages : réfection d'un pont. 

Je décide de partir à gauche, vers l'est, en tentant de suivre la route des églises e bois. Naturellement, ma carte est si peu détaillée que je suis vite perdu. Je navigue à l'aide du soleil, et découvre un pppr^te à rentre aysage de collines, de verdure, de maison neuve, de personne qui s'activent un samedi ensoleillé.

Je retrouve un lac marqué sur la carte, tente de ma diriger vers une ville, en traverse une autre et petit à petit j'avance vers le sud. Je suis une vallée ; des propositions d'achat de fruits, myrtilles énormes, cerises, prunes, sur le bord de la route. Je me laisse tenter !

Apparît sur le bord du chemein une église en bois ; demi-tour ; je m'approche et j'assiste à un cours de sonnerie de cloche ppour les enfants en vue d'en faire de parfaits enfant de choeur. C'est un jeune franciscain qui les initie au bon usage du maillet et sur le bon mouvement de poignet pour agiter les trois clochettes.

Le temps passe. Je ne pourrais visiter Nowy Sachs, mais je m'arrête à Novy Tag, sa grand place sans beaucoup de charme et son église que je ne peux visiter : mariage. Le cortège s'apprête à rentrer à l'église, en costume folklorique de montagnard : pantalon blanc, gilet rouge, large ceinture que nous avions vue au musée ethnographique de Crracovie la veille, accompagnement par trois musiciens, tadis que les orgues sonnent à l'intérieur.

Je repars et je reconnais bientôt le Dunajec que je suis un moment. Puis à Debno, un panneau indique une église en bois. Je m'arrête au village ; beaucoup de constructions en bois et cette église qui se trouve isolée, entourée d'un petit cours d'eau et entourée de grands fresnes. Des pentures à l'intérieur, une architecture simple, le calme des bancs ombragés, pique-nique, des jeunes filles qui proposent la vente de cartes postales pour leur école.

Des digues protègent les habitations, des sacs de sable sont encore présents, un  pont détruit est en reconstruction : signes des terribles inondation que vient de connaître cette région. Bientôt arrive Bukoniwa Tatranska, le lieu de notre séjour, dont je visite toutes les routes avant de trouver notre auberge.

Pawel et son épouse Ola m'y attendent. Discussion, arrivée des autres participants contents de leur visite à la mine de sel, prise de contact avec la vodka bison offerte par Chantal et Thierry, repas, connaissane de Pawel Orienec notre guide, promenade digestive et au lit !