Modification de Raquette en Aubrac (hiver 2011)/littéraire/j1
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− | + | == Dimanche 27 février: Nasbinals, Rieutort, lac Saint Andéol, cascade du Déroc ; 23 km, 6 h, +700 m == | |
− | == Dimanche 27 février : Nasbinals, Rieutort, lac Saint Andéol, cascade du Déroc ; 23 km, 6 h, | ||
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Départ 9 heures. Sabine récupère du décalage horaire et reste à l’hôtel. | Départ 9 heures. Sabine récupère du décalage horaire et reste à l’hôtel. | ||
− | Le groupe, réduit à 10, part d’un pas décidé. Le temps est frais (- | + | Le groupe, réduit à 10, part d’un pas décidé. Le temps est frais (-3° à- 4°), le vent souffle, mais le soleil est timidement présent. En tournant sur soi, on peut voir successivement du ciel bleu, des cumulus blancs, et un fond de ciel gris virant au noir. Il a neigé (très peu) ce qui permettra d’affirmer que « nous avons marché dans la neige ». Le rythme est soutenu, et nous avançons régulièrement, emmitouflés dans nos tenues ad-hoc. Une pause vers 10 heures 30 et les thermos de thé sortent. Daniel nous offre son élixir vosgien. |
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Nous reprenons la « piste » et vers midi c’est la pause repas. Au loin Jean-Luc repère un renard qui s’enfuit. Nous repartons, et commençons à nous entraîner au passage de barbelés : à quatre pattes, sur le dos, ou en enjambant au choix. Le soleil alterne avec les ombres des nuages, mais le vent est de plus en plus présent, avec des épisodes de grésil, le moral reste de toute façon très élevé. Nous continuons notre boucle, avec des traversées de zones humides où il faut marcher de touffe d’herbe en touffe d’herbe. De temps à autre nous voyons des orgues basaltiques, dans le lit du torrent ou en rebord de plateau. Quelques passages en descente un peu plus raide, mais après la cascade nous renonçons à la trace directe pour contourner un passage par trop raide. Nous rentrons tranquillement à l’hôtel à 16 heures pile, alors qu’il recommence à neiger légèrement. | Nous reprenons la « piste » et vers midi c’est la pause repas. Au loin Jean-Luc repère un renard qui s’enfuit. Nous repartons, et commençons à nous entraîner au passage de barbelés : à quatre pattes, sur le dos, ou en enjambant au choix. Le soleil alterne avec les ombres des nuages, mais le vent est de plus en plus présent, avec des épisodes de grésil, le moral reste de toute façon très élevé. Nous continuons notre boucle, avec des traversées de zones humides où il faut marcher de touffe d’herbe en touffe d’herbe. De temps à autre nous voyons des orgues basaltiques, dans le lit du torrent ou en rebord de plateau. Quelques passages en descente un peu plus raide, mais après la cascade nous renonçons à la trace directe pour contourner un passage par trop raide. Nous rentrons tranquillement à l’hôtel à 16 heures pile, alors qu’il recommence à neiger légèrement. | ||
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Nous retrouvons Sabine qui nous explique qu’elle s’est bien reposée et que ce midi elle a bien pensé à nous en dégustant ses « ris de veau d’agneau » ! | Nous retrouvons Sabine qui nous explique qu’elle s’est bien reposée et que ce midi elle a bien pensé à nous en dégustant ses « ris de veau d’agneau » ! | ||