Différences entre les versions de « Raquette en Aubrac (hiver 2011)/littéraire/j1 »

De Entre Amis
Aller à : navigation, rechercher
m
m
 
(13 versions intermédiaires par 2 utilisateurs non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
== Dimanche 27 février : Nasbinals, Rieutort, lac Saint Andéol, cascade du Déroc ; 23 km, 6 h, +700 m ==
+
[[Image:2011Aubrac03.jpg|600px|center|]]
 +
== Dimanche 27 février : Nasbinals, Rieutort, lac Saint Andéol, cascade du Déroc ; 23 km, 6 h, {{nobr|+700 m}} ==
 +
[[Image:2011 Aubrac 03.jpg|thumb|right|Le plateau de l'Aubrac]]
  
Départ 9 heures. Sabine récupère du décalage horaire et reste à l’hôtel. Le groupe, réduit à 10, part d’un pas décidé. Le temps est frais (moins 3° à 4°), le vent souffle, mais le soleil est timidement présent. En tournant sur soi, on peut voir successivement du ciel bleu, des cumulus blancs, et un fond de ciel gris virant au noir. Il a neigé (très peu) ce qui permettra d’affirmer que « nous avons marché dans la neige ». Le rythme est soutenu, et nous avançons régulièrement, emmitouflés dans nos tenues ad-hoc. Une pause vers 10 heures 30 et les thermos de thé sortent. Le chef a oublié la potion magique, mais heureusement Daniel supplée sa défaillance avec son élixir vosgien.
+
Le [http://www.visugpx.com/?i=1301764639&ign parcours].
  
Nous reprenons la « piste » et vers midi c’est la pause repas. Au loin Jean-Luc repère un renard qui s’enfuit. Nous repartons, et commençons à nous entraîner au passage de barbelés : à quatre pattes, sur le dos, ou en enjambant au choix. Le soleil alterne avec les ombres des nuages, mais le vent est de plus en plus présent, avec des épisodes de grésil, le moral reste de toute façon très élevé. Nous continuons notre boucle, avec des traversées de zone humide où il faut marcher de touffe d’herbe en touffe d’herbe. De temps à autre nous voyons des orgues basaltiques, dans le lit du torrent ou en rebord de plateau. Quelques passages en descente un peu plus raide, mais après la cascade nous renonçons à la trace directe pour contourner un passage par trop raide. Nous rentrons tranquillement à l’hôtel à 16 heures pile, alors qu’il recommence à neiger légèrement.
+
Départ 9 heures. Sabine récupère du décalage horaire et reste à l’hôtel.  
 +
Le groupe, réduit à 10, part d’un pas décidé. Le temps est frais (-3 à -4 °C), le vent souffle, mais le soleil est timidement présent. En tournant sur soi, on peut voir successivement du ciel bleu, des cumulus blancs, et un fond de ciel gris virant au noir. Il a neigé (très peu) ce qui permettra d’affirmer que « nous avons marché dans la neige ». Le rythme est soutenu, et nous avançons régulièrement, emmitouflés dans nos tenues ad-hoc. Une pause vers 10 heures 30 et les thermos de thé sortent. Daniel nous offre son élixir vosgien.
  
 +
[[Image:2011 Aubrac 02.jpg|thumb|left|Passage de clôture]]
 +
Nous reprenons la « piste » et vers midi c’est la pause repas. Au loin Jean-Luc repère un renard qui s’enfuit. Nous repartons, et commençons à nous entraîner au passage de barbelés : à quatre pattes, sur le dos, ou en enjambant au choix. Le soleil alterne avec les ombres des nuages, mais le vent est de plus en plus présent, avec des épisodes de grésil, le moral reste de toute façon très élevé. Nous continuons notre boucle, avec des traversées de zones humides où il faut marcher de touffe d’herbe en touffe d’herbe. De temps à autre nous voyons des orgues basaltiques, dans le lit du torrent ou en rebord de plateau. Quelques passages en descente un peu plus raide, mais après la cascade nous renonçons à la trace directe pour contourner un passage par trop raide. Nous rentrons tranquillement à l’hôtel à 16 heures pile, alors qu’il recommence à neiger légèrement.
 +
 +
[[Image:2011 Aubrac 04.jpg|thumb|right|Cascade du Déroc]]
 
Nous retrouvons Sabine qui nous explique qu’elle s’est bien reposée et que ce midi elle a bien pensé à nous en dégustant ses « ris de veau d’agneau » !
 
Nous retrouvons Sabine qui nous explique qu’elle s’est bien reposée et que ce midi elle a bien pensé à nous en dégustant ses « ris de veau d’agneau » !
  
Ligne 11 : Ligne 18 :
 
== La soirée ==
 
== La soirée ==
  
Marie Charlotte fête ses 26 printemps (!) et nous offre un bergerac blanc en apéritif, puis les pichets de rouge et de rosé du repas.
+
Marie Charlotte fête ses 26 printemps (!) et nous offre un bergerac blanc en apéritif, et les pichets de rouge et de rosé du repas.
 
Au programme : soupe de légumes, endive au gratin (comme chez nous), rôti de porc pomme de terre poêlée, plateau de fromages toujours du pays, glaces variées, bavarois à la framboise et crème caramel (les desserts n’étaient pas au choix et se cumulaient…).
 
Au programme : soupe de légumes, endive au gratin (comme chez nous), rôti de porc pomme de terre poêlée, plateau de fromages toujours du pays, glaces variées, bavarois à la framboise et crème caramel (les desserts n’étaient pas au choix et se cumulaient…).
  

Version actuelle datée du 1 mai 2011 à 20:10

2011Aubrac03.jpg

Dimanche 27 février : Nasbinals, Rieutort, lac Saint Andéol, cascade du Déroc ; 23 km, 6 h, +700 m[ ]

Le plateau de l'Aubrac

Le parcours.

Départ 9 heures. Sabine récupère du décalage horaire et reste à l’hôtel. Le groupe, réduit à 10, part d’un pas décidé. Le temps est frais (-3 à -4 °C), le vent souffle, mais le soleil est timidement présent. En tournant sur soi, on peut voir successivement du ciel bleu, des cumulus blancs, et un fond de ciel gris virant au noir. Il a neigé (très peu) ce qui permettra d’affirmer que « nous avons marché dans la neige ». Le rythme est soutenu, et nous avançons régulièrement, emmitouflés dans nos tenues ad-hoc. Une pause vers 10 heures 30 et les thermos de thé sortent. Daniel nous offre son élixir vosgien.

Passage de clôture

Nous reprenons la « piste » et vers midi c’est la pause repas. Au loin Jean-Luc repère un renard qui s’enfuit. Nous repartons, et commençons à nous entraîner au passage de barbelés : à quatre pattes, sur le dos, ou en enjambant au choix. Le soleil alterne avec les ombres des nuages, mais le vent est de plus en plus présent, avec des épisodes de grésil, le moral reste de toute façon très élevé. Nous continuons notre boucle, avec des traversées de zones humides où il faut marcher de touffe d’herbe en touffe d’herbe. De temps à autre nous voyons des orgues basaltiques, dans le lit du torrent ou en rebord de plateau. Quelques passages en descente un peu plus raide, mais après la cascade nous renonçons à la trace directe pour contourner un passage par trop raide. Nous rentrons tranquillement à l’hôtel à 16 heures pile, alors qu’il recommence à neiger légèrement.

Cascade du Déroc

Nous retrouvons Sabine qui nous explique qu’elle s’est bien reposée et que ce midi elle a bien pensé à nous en dégustant ses « ris de veau d’agneau » !

L’après midi se continue en regardant les photos tant du jour et que de séjours antérieurs, le verre à la main bien entendu.

La soirée[ ]

Marie Charlotte fête ses 26 printemps (!) et nous offre un bergerac blanc en apéritif, et les pichets de rouge et de rosé du repas. Au programme : soupe de légumes, endive au gratin (comme chez nous), rôti de porc pomme de terre poêlée, plateau de fromages toujours du pays, glaces variées, bavarois à la framboise et crème caramel (les desserts n’étaient pas au choix et se cumulaient…).

Nuit bienvenue pour éliminer les premières fatigues.