Différences entre les versions de « Raquette en Aubrac (hiver 2011)/littéraire/j3 »

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Réveil à 7 heures. Il fait -5° dehors, et le temps est très gris. Petit déjeuner où les ordres d’arrivée semblent se modifier !… Les courses faites, sandwiches préparés et sacs fermés nous montons en voiture à 9 heures pour un trajet d’une dizaine de minutes. Et nous commencerons par une devinette :
 
Réveil à 7 heures. Il fait -5° dehors, et le temps est très gris. Petit déjeuner où les ordres d’arrivée semblent se modifier !… Les courses faites, sandwiches préparés et sacs fermés nous montons en voiture à 9 heures pour un trajet d’une dizaine de minutes. Et nous commencerons par une devinette :
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== Le Signal de Mailhe-Biau ; 20 km, 5h30, +678m ==
 
== Le Signal de Mailhe-Biau ; 20 km, 5h30, +678m ==
  
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Voitures garées près de la tourbière, nous partons sur le chemin balayé par un vent fort et barré par les congères. L’allure est vive car il n’est pas question de se refroidir. Nous marchons sur la neige et même la glace sur laquelle on ne tient pas très bien, n’est ce pas Jacques. Nous atteignons le signal de Mailhebiau, et nous arrêtons juste le temps d'effacer la pellicule de glace sur la table d’orientation.
 
Voitures garées près de la tourbière, nous partons sur le chemin balayé par un vent fort et barré par les congères. L’allure est vive car il n’est pas question de se refroidir. Nous marchons sur la neige et même la glace sur laquelle on ne tient pas très bien, n’est ce pas Jacques. Nous atteignons le signal de Mailhebiau, et nous arrêtons juste le temps d'effacer la pellicule de glace sur la table d’orientation.
  
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De temps à autre, nous sommes protégés par un muret un peu plus haut, ou un bouquet d’arbres, mais cela ne dure pas. Nous avançons toujours, les arrêts techniques sont réduits au strict minimum. La pause de 11 heures est éludée et nous continuons dans le vent, sur la neige ou la glace ou l’herbe rase. Le moral reste au plus haut pour tous.
 
De temps à autre, nous sommes protégés par un muret un peu plus haut, ou un bouquet d’arbres, mais cela ne dure pas. Nous avançons toujours, les arrêts techniques sont réduits au strict minimum. La pause de 11 heures est éludée et nous continuons dans le vent, sur la neige ou la glace ou l’herbe rase. Le moral reste au plus haut pour tous.
  
Nous arrivons au refuge de Rajas : c’est formidable car il est dans un creux abrité des frimas, mais il n’est pas ouvert et nous ne pouvons que bavarder avec le gardien qui effectue les travaux sous le contrôle de son chef de chantier c’est à dire son petit-fils de 6 ans en salopette. Le casse-croûte attendra. C’est toujours la fuite en avant jusqu’à un buron qui nous protège momentanément. Nous en profitons pour manger (rapidement) une barre ou un morceau de chocolat, et nous repartons aussi vite.[[Image:2011 Aubrac 10.jpg|thumb|130px|right|]]
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Nous arrivons au refuge de Rajas : c’est formidable car il est dans un creux abrité des frimas, mais il n’est pas ouvert et nous ne pouvons que bavarder avec le gardien qui effectue les travaux sous le contrôle de son chef de chantier c’est à dire son petit-fils de 6 ans en salopette. Le casse-croûte attendra. C’est toujours la fuite en avant jusqu’à un buron qui nous protège momentanément. Nous en profitons pour manger (rapidement) une barre ou un morceau de chocolat, et nous repartons aussi vite.
 
 
  
 
C’est seulement arrivés dans la forêt, protégés par les arbres que nous ferons notre plus long arrêt soit 6 à 7 minutes. Nous repartons vite et atteindrons les voitures à 14 heures 40. Jean-Luc propose d’aller jusque Aubrac où nous pourrions trouver une table pour notre pique-nique, agrémenté d’une tarte locale. Mais tout est fermé, nous ne pouvons que regarder la vache en fer blanc et la Tour des Anglais. Nous rentrons donc à Nasbinals, où une soupe chaude fait l’unanimité, avant de manger enfin notre casse croûte. Il est 15 heures 40.
 
C’est seulement arrivés dans la forêt, protégés par les arbres que nous ferons notre plus long arrêt soit 6 à 7 minutes. Nous repartons vite et atteindrons les voitures à 14 heures 40. Jean-Luc propose d’aller jusque Aubrac où nous pourrions trouver une table pour notre pique-nique, agrémenté d’une tarte locale. Mais tout est fermé, nous ne pouvons que regarder la vache en fer blanc et la Tour des Anglais. Nous rentrons donc à Nasbinals, où une soupe chaude fait l’unanimité, avant de manger enfin notre casse croûte. Il est 15 heures 40.

Version actuelle datée du 1 mai 2011 à 20:12

2011Aubrac05.jpg

Mardi 1er mars[ ]

Croix de la Rode

Le parcours

Réveil à 7 heures. Il fait -5° dehors, et le temps est très gris. Petit déjeuner où les ordres d’arrivée semblent se modifier !… Les courses faites, sandwiches préparés et sacs fermés nous montons en voiture à 9 heures pour un trajet d’une dizaine de minutes. Et nous commencerons par une devinette :

Qu’est ce qui est blanc, frais et grand ? Non ce n’est pas un magnum de muscadet sur lie, ni un ours blanc. C’est tout simplement :

Le Signal de Mailhe-Biau ; 20 km, 5h30, +678m[ ]

Voitures garées près de la tourbière, nous partons sur le chemin balayé par un vent fort et barré par les congères. L’allure est vive car il n’est pas question de se refroidir. Nous marchons sur la neige et même la glace sur laquelle on ne tient pas très bien, n’est ce pas Jacques. Nous atteignons le signal de Mailhebiau, et nous arrêtons juste le temps d'effacer la pellicule de glace sur la table d’orientation.

Montée au Signal de Maihle-Biau

De temps à autre, nous sommes protégés par un muret un peu plus haut, ou un bouquet d’arbres, mais cela ne dure pas. Nous avançons toujours, les arrêts techniques sont réduits au strict minimum. La pause de 11 heures est éludée et nous continuons dans le vent, sur la neige ou la glace ou l’herbe rase. Le moral reste au plus haut pour tous.

Nous arrivons au refuge de Rajas : c’est formidable car il est dans un creux abrité des frimas, mais il n’est pas ouvert et nous ne pouvons que bavarder avec le gardien qui effectue les travaux sous le contrôle de son chef de chantier c’est à dire son petit-fils de 6 ans en salopette. Le casse-croûte attendra. C’est toujours la fuite en avant jusqu’à un buron qui nous protège momentanément. Nous en profitons pour manger (rapidement) une barre ou un morceau de chocolat, et nous repartons aussi vite.

C’est seulement arrivés dans la forêt, protégés par les arbres que nous ferons notre plus long arrêt soit 6 à 7 minutes. Nous repartons vite et atteindrons les voitures à 14 heures 40. Jean-Luc propose d’aller jusque Aubrac où nous pourrions trouver une table pour notre pique-nique, agrémenté d’une tarte locale. Mais tout est fermé, nous ne pouvons que regarder la vache en fer blanc et la Tour des Anglais. Nous rentrons donc à Nasbinals, où une soupe chaude fait l’unanimité, avant de manger enfin notre casse croûte. Il est 15 heures 40.

La soirée[ ]

Assemblée générale chez Catherine et Sabine : nous regardons les différentes photos, et honorons l’Alsace avec le Gewurztraminer amené par Daniel.

Repas à 19 heures 30 : soupe de légumes, quiche au poireaux, rôti de bœuf (à volonté) ratatouille, plateau de fromage et beignet de pommes.