Différences entre les versions de « GR20 (printemps 2010) littéraire j0 »

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Nous sommes partis de l'aéroport Charles de Gaulle pour arriver à Bastia. Nous avons pris le bus direction Sainte-Lucie-de-Porto-Vecchio situé à 7 km de Conca. Le directeur du gîte d'étape de Conca est venu nous chercher en voiture − je pensais que nous allions marcher dès Sainte-Lucie. Puis, arrivés à ce gîte, nous nous sommes installés. Après le souper, l'orage a commencé à tonner et nous sommes allés nous coucher.   
 
Nous sommes partis de l'aéroport Charles de Gaulle pour arriver à Bastia. Nous avons pris le bus direction Sainte-Lucie-de-Porto-Vecchio situé à 7 km de Conca. Le directeur du gîte d'étape de Conca est venu nous chercher en voiture − je pensais que nous allions marcher dès Sainte-Lucie. Puis, arrivés à ce gîte, nous nous sommes installés. Après le souper, l'orage a commencé à tonner et nous sommes allés nous coucher.   
 
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=== la version de Jean-Luc ===
 
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Quentin et moi partons de chez Stéphanie et Patrick à Saint-Nom-la-Bretèche. Petit-déjeuner, puis Patrick nous mène à la gare et nous prenons le train, puis le RER à La Défense où nous sortons malencontreusement du périmètre assigné aux voyageurs, Les Halles, Gare du Nord, encore un autre changement et nous voici à l'aéroport Charles de Gaulle où nous retrouvons Jean-Pierre, Bernard et Daniel.
 
 
Embarquement, la sécurité nous fait enlever nos chaussures qui ne contiennent rien de répréhensible si ce n'est une forte odeur, étonnement de Quentin − c'est son premier voyage en avion − , traversée de la France, puis de la Méditerranée, arrivée sur la Corse et atterrissage à l'aéroport de Bastia.
 
 
Nous retrouvons notre sac-à-dos et partons en bus vers le centre-ville − était-ce bien utile ?. Notre conductrice évite la nationale encombrée pour prendre l'itinéraire qui longe la côte. Étonnement devant le peu de qualité des constructions. Retrouvailles avec Klaus arrivé depuis le matin, première bière, puis départ en autocar pour Sainte-Lucie-de-Porto-Vecchio. La nationale est bien encombrée, le car prend du retard ; la côte est de la Corse ne brille pas par la beauté de ses constructions : immeubles sans charme, commerces sans beauté, maisons uniformes, vieilles maisons mal entretenues. Que l'on est loin de la Corrèze ou de l'Auvergne où les vieilles maisons en pierre sont refaites avec soin et bon goût !
 
 
La côte devient plus jolie, les criques succèdent aux grandes plages, la plaine a disparu. Sainte-Lucie est déjà là, la boulangère nous accueille avec ses pains au levain qui se découvriront excellents, coup de téléphone au gîte, une voiture vient nous chercher et nous évite les  six kilomètres de goudron et les 300 mètres de dénivelée positive. Douche, repas.
 
 
Promenade digestive, découverte du cimetière, plutôt des cimetières de Conca, des tombes mises çà et là ; découverte de l'église, repérage du début du sentier. Et l'orage éclate, des éclairs éclairent la montagne, s'abattent sur les arêtes, la pluie tombe, nous nous précipitons vers notre abri. Alerte orange sur la Corse à cause de ces orages, orages qui feront 25 victimes dans le Var. Que va-t-il se passer demain ? Nuit inquiète…
 
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<small>{{Navigation CR|avant=|après=GR20 (printemps 2010) littéraire j1}}</small>
 
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Version actuelle datée du 1 août 2010 à 18:29

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lundi 14 juin, arrivée à Conca[ ]

Arrivée en Corse

Nous sommes partis de l'aéroport Charles de Gaulle pour arriver à Bastia. Nous avons pris le bus direction Sainte-Lucie-de-Porto-Vecchio situé à 7 km de Conca. Le directeur du gîte d'étape de Conca est venu nous chercher en voiture − je pensais que nous allions marcher dès Sainte-Lucie. Puis, arrivés à ce gîte, nous nous sommes installés. Après le souper, l'orage a commencé à tonner et nous sommes allés nous coucher.