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− | J1 = jeudi 29 mai ; Lille Fort William
| + | == Introduction == |
− | Rendez-vous à Lille Europe à 8 h 30 pour un départ en TGV vers Charles de Gaulle à 8 h 46. Josette téléphone à Patrick qu’elle ne sera pas en avance…Elle arrive sur le quai quand les portes vont se fermer, le contrôleur la fait monter dans la 1° rame ; il lui faudra descendre à Douai pour retrouver les copains dont les place se trouvent dans l’autre rame. Quant à moi, je monte normalement à Arras, venant de Lens. A Charles de Gaulle, nous retrouvons d’abord Adeline et Olivier, qui viennent de Strasbourg, puis Klaus qui vient de Bazièges (Toulouse) et a passé la nuit à Paris : la troupe est au complet.
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− | Moment de vérité lors de la pesée des sacs à l’enregistrement ; je gagne le concours de la légèreté avec 7,2 kg mais je n’ai ni eau ni ravitaillement. Petit problème : le parapluie de Didier n’a droit ni à la soute, ni à la cabine et pourtant il y tient à son parapluie. Bon, il faut céder aux insistances de la dame. Mais il n’abandonne pas le parapluie. Au contrôle de sécurité de la salle d’embarquement, on nous fait enlever nos chaussures, on oblige Josette à laisser sa bouteille d’eau (dans laquelle cependant elle a droit de venir boire) et…Didier passe son parapluie sans problème ! Heureusement car, grâce à notre parapluie fétiche, nous n’avons pas vu la pluie pendant notre randonnée, sauf une fois, une nuit, quand nous dormions dans le bateau !
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− | Le décollage sur un avion Easy jet est prévu à 12 h 15. Pas de problème. Arrivée à Glasgow à 13 h 30, avec une heure de décalage horaire (nous allons vers l’Ouest). Nous prenons le bus à 15 h pour Fort William, au Nord de Glasgow. Nous avons le temps de prendrfe café et jus de fruit à l’aéroport, d’où part le bus. Trois heures de bus parfois par autoroute souvent par une route étroite et sineuse où le bus et un camion ne peuvent se croiser que si l’un est à l’arrêt et l’autre au pas, mais des paysages de Highland extraordinaire, qui nous donnent des envies de randonner : rochers, moutons, genêts et ajoncs, lacs ; des azalées en fleurs roses, mauves, blanches tout le long de la route ; d’abord des forêts de feuillus, puis quand nous montons de plus en plus au Nord, des résineux, et des sommets pelés. Nous avons là un aperçu des paysages que nous traverserons. Un arrêt de 5 mn au milieu de nulle part : Klaus trouve quand même le moyen de dénicher un café et un gâteau sec ! Arrivée sans pb à Fort William, à 18 h 30. Nous nous orientons correctement (il valait mieux !) et menons notre troupe vers l’Auberge de jeunesse : les trois kilomètres permettent à chacun /chacune d’apprécier le poids de son sac…
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− | Repas et nuit à l’auberge.
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− | J2 Fort William Caproch par la montée au Ben Nevis
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− | Petit déjeuner
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− | Beau temps. Départ à allure assez vive…mais la pente qui commence très vite apprend la sagesse. L’enthousiasme nous donne des ailes et nous avalons les 1320 m de dénivelée en 4 h 15 minutes, ce qui n’ets pas si mal puisque nous portons nos gros sacs. Des rencontres curieuses : des hommes descendent en kilt, D’abord des prairies
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− | Patrick avait prévu la descente apr l’Ouest du Ben Nevis, mais cela nous ferait faire un grand détour pour rejoindre notre hébergement et le aprcours valait plus comme solution de repli si les conditions meteo nous avaient emp^ché de monter au sommet du Ben Nevis. Nous descendons apr le même chemin qu’à l’aller mais vers la fin nous obliquons vers la route de Fort William ; il faut encore traverser la ville pour aller de l’autre côté : la carte indique qu’il y a des écluses qui doivent permettre un passage à pied, mais il est tard, la journée a été très longue, nous ne connaissons aps encore la configuraton du aprcours ; nous envisageons d eprendr ela route, mais Patrick questionne un cyclorandonneur qui vient de franchir les écluses. Nous nous engageons donc le long de l’estuaire, arrivons aux écluses qui sont effectivement traversables pour els piétons et les cyclistes (ce qui ser ale cas tout le long du arvours). Là est amarré un bateau qui accueille des cadets de la Royal Navy : un coup d’œil assez rapide car nous voulons atteindre notre hébergement, un « guest house », ce quie st chose fiate sans problème. Nous cherchons un pub dans les environs : les indications qu’on nous donnent sont peu fiables, nous revoilà près de nos cadets, des parents et de l’encadrement, des messieurs en cravate et costume, fort distinguésn dont l’un parle admirablement français et passe ses vacances (ou tient un hitelà à Samoens…le monde est petit ! Nous aurons d’autres occasions de la constater. Nous discutons sur les cadtes (garçons et filels qui font un stage d’une semaine sur un bateau, ce qui elur fiat apraît-il beaucup de bien –mais ça a l’air d’être des jeunes d’un certain milieu….Quelqies indications pour un pub : le 1°ne sert que de la boisson, le second est fermé. Décisions prise : nous envoyons nos troupes boire une bière ou autre au pub pendnat que nous faisons les courses pour faire le repas du soir : entrée avec pain anglais, pâtes avec sauce, yaourt, vin blanc. Retour au Bunkhouse : une équipe fait la cuisine, els autres prennent la douche. Problème qui n’en est as un : on nous dit qu’il est interdit d’apporter de la boisson alcoolisée de l’extérieur : nous transformons notre vin blanc en innocente boisson servie dans des mugs. Et mangeons de très bon appétit.
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− | AG : tenant compte de l’état de fatigue des troupes, nous proposons deux options pour le lendemain : soit visite de la distillerie mais détour vers Fort William donc six Km de plus, soit trajet direct le long du canal calédonien. A l’unanimité, c’est l’option distillerie qui est choisie (nous sommes encore naïfs).
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− | J3 Fort William à Gairlochy, 17 km (6 Km aller retour vers la distillerie +11 km des écluses de Neptune jusqu’à l’écluse de Gairlochy)
| + | toto |
− | Beau temps.
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− | Petit déjeuner écossais, bien servi. Nous avions des doutes : il n’a pas été possible de savoir la veille ce qui nous serait préparé…Seule la confiture est à éviter : visiblement les randonneurs font eux-mêmes leur petit déjeuner et cette confiture n’avait été ouverte depuis très longtemps.
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− | Départ 9 heures pour la distillerie.
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− | Nous devons attendre la visite de 11 heures. Visite en anglais. Certains comprennent tout, d’autres moins, d’autres très peu…Dégustation et achat d’une bouteille pour la route (le soir)…
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− | Départ de la distillerie à 12 h 30. Nous prenons le début du canal calédonien et passons aux écluses de Neptune. Puis nous cheminons sur un sentier large et quasiment plat, le long du canal.
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− | Arrêt à 13 h 30 pour une pause déjeuner rapide (mitgigs) à l’aqueduc de Shengain qui fait passer l’eau d’une rivière sous le canal calédonien ; il y a aussi un passage pour les piétons et vélos.
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− | A 16 h arrivée à l’écluse de Gairlochy, puis au B & B où nous attend une charmante dame anglaise, veuve, qui complète ses revenus avec cette activité d’hôtesse. Sur le perron, elle nous explique que sa vieille mère fait la sieste ; elle nous conduit chacun/chacune à nos chmabres : très beau, très propre très confortable. Il faut aussi nous dit-elle faire attention au chat, qui pèse 7 kg, n’aime pas être caressé par les hôtes et a tendance à voulori entrer dna sles chmabres…Pendant que certains prennent lerus docuhe, patrick se fiat consuire au village en voiture por chercher du ravitaillement en boisson et nous prenons le soleil sur la terrase de la dame, qui nous apporte des sièges… Repas somptueux le soir,à 19 heures, avec des produits du jardin, que nous avons visité : dans des petits bacs rempli de compost elle fait de la culture sinon écolo du moins raisonnée (« la carotte aime la fraise ») : potage au lentilles, saumon avec légumes du jardin, pain au beurre allé, crème à la rhubarbe du jardin, puis thé ou tisane.
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− | Petit déjeuner de même nature : d’abord céréales de toutes sorte, confiture, croissant, pain grillé, puis déjeuner écossais, fruits…Nous somes lesté pour ma journée.
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