GR5 (printemps 2019)/parcours effectué/j10

jeudi 27 juin, de Maljasset à Ceillac

Nous sommes sept ce matin à prendre le petit déjeuner et partir au même endroit : Ceillac. Il est sept heures et nous partirons un peu avant huit heures.

Le chemin monte sérieusement tout de suite. Nous reprenons la même allure qu'hier. Ce chemin a beaucoup de succès ; tout le monde peine, sue, s'essuie le crâne, souffle, crache, avance, regarde vers les sommets. Au bout d'une heure, nous retrouvons le GR5 et la pente se calme. Puis, c'est une cabane de berger, de l'herbe verte, une source qui coule, et les cinq de ce matin qui atteignent le col.

Le col Girardin est conquis malgré ses 2699 mètres. Le réseau est présent, les sonneries tintent, les nouvelles sont données. C'est la descente sans neige, sur des schistes glissants. Le lac Saint-Anne se présente à nous avec les charmes de son eau bleue pétrole. Un arrêt, et nous voilà repartis vers le lac Miroir où nous pique-niquons.

Il reste deux heures de marche pour Ceillac. Le GR5 a délaissé son tracé mal pavé, pour un sentier au milieu des mélèzes. Nous arrivons à la route pour emprunter un chemin herbeux confortable.

Le gîte Les Baladins n'a pas changé ; une chambre nous attend, le repas pourra y être pris et le repos sera réparateur. Excellent repas et vite au repos.

Pour nous rendre à Ceillac, nous allons franchir cette arête par le col Girardin (2699 m).
Marche et Rêve / Jacky Fabis

La pause s'impose.
Marche et Rêve / Jean-Luc Queva

De l’autre côté le lac Saint-Anne et à l’horizon au fond à gauche le glacier Blanc du massif des Écrins.
Marche et Rêve / Jacky Fabis

Un air de Cordillère des Andes.
Marche et Rêve / Jacky Fabis

Le lac Saint-Anne dans toute sa splendeur.
Marche et Rêve / Jacky Fabis

Même les moutons souffrent de la chaleur.
Marche et Rêve / Jacky Fabis

Plus loin, le Lac Miroir.
Marche et Rêve / Jacky Fabis

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