Différences entre les versions de « GR5 (printemps 2019)/parcours effectué/j23 »

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=== mercredi 10 juillet, refuge de Moëde Anterne > Samöens ===
 
=== mercredi 10 juillet, refuge de Moëde Anterne > Samöens ===
 
Mercredi 10 juillet, de Moëde-Anterne aux Fermes de Vercland
 
  
 
Grasse matinée : lever à six heures trente ; petit déjeuner servi par la mamie gardienne du refuge ; discussions diverses et départ à huit heures pour la montée au col d'Anterne. Nous sommes précédés par un petit garçon de cinq ans et demi, qui restera en tête. L'Aiguille Verte, les trois Monts Blancs apparaissent baignés de soleil ; spectacle merveilleux... Le col est atteint.
 
Grasse matinée : lever à six heures trente ; petit déjeuner servi par la mamie gardienne du refuge ; discussions diverses et départ à huit heures pour la montée au col d'Anterne. Nous sommes précédés par un petit garçon de cinq ans et demi, qui restera en tête. L'Aiguille Verte, les trois Monts Blancs apparaissent baignés de soleil ; spectacle merveilleux... Le col est atteint.
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Version du 10 juillet 2019 à 18:42




mercredi 10 juillet, refuge de Moëde Anterne > Samöens

Grasse matinée : lever à six heures trente ; petit déjeuner servi par la mamie gardienne du refuge ; discussions diverses et départ à huit heures pour la montée au col d'Anterne. Nous sommes précédés par un petit garçon de cinq ans et demi, qui restera en tête. L'Aiguille Verte, les trois Monts Blancs apparaissent baignés de soleil ; spectacle merveilleux... Le col est atteint.

La descente commence avec quelques névés faciles à négocier. Apparaît le lac d'Anterne sous les falaises de la chaîne des Fizz, une petite brume et des dizaines de bivouacs. La descente continue, plus heurtée, glissante, pour atteindre le refuge Alfred Wills. Longue pause, épluchage des légumes pour la soupe du soir.

Nous repartons et franchissons le collet d'Anterne. Descente difficile, arrêt aux cascades de la Pleureuse et de la Sauffaz, descente encore dans les pierres, puis sur un chemin plus facile, et c'est le Lignon. Pique nique, le Beaufort est toujours aussi bon. Et la descente continue sur Sixt ; rencontre avec une étudiante autrichienne partie de Grenoble pour retourner chez elle à Zermatt à pied et un gros sac.

Un gentil automobiliste nous prend à la sortie de Sixt pour nous conduire au centre de Samoëns ; courses et direction les Fermes de Vercland où nous attendent Catherine et Jean Louis. Collation, bière, installation, douche et lessive, repos, repas du soir et nuit que l'on espère réparatrice.