Différences entre les versions de « The Great Glen Way Route (printemps 2008)/littéraire/j1 »

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J1 = jeudi 29 mai ; Lille Fort William
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== jeudi 29 maiLille Fort William ==
  
Rendez-vous à Lille Europe à 8 h 30 pour un départ en TGV vers Charles de Gaulle à 8 h 46. Josette téléphone à Patrick qu’elle ne sera pas en avance…Elle arrive sur le quai quand les portes vont se fermer, le contrôleur la fait monter dans la 1° rame ; il lui faudra descendre à Douai pour retrouver les copains dont les place se trouvent dans l’autre rame. Quant à moi, je monte normalement à Arras, venant de Lens. A Charles de Gaulle, nous retrouvons d’abord Adeline et Olivier, qui viennent de Strasbourg, puis Klaus qui vient de Bazièges (Toulouse) et a passé la nuit à Paris : la troupe est au complet.
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Rendez-vous à Lille Europe à 8 h 30 pour un départ en TGV vers Charles de Gaulle à 8 h 46. Josette téléphone à Patrick qu’elle ne sera pas en avance… Elle arrive sur le quai quand les portes vont se fermer, le contrôleur la fait monter dans la 1° rame ; il lui faudra descendre à Douai pour retrouver les copains dont les place se trouvent dans l’autre rame. Quant à moi, je monte normalement à Arras, venant de Lens. A Charles de Gaulle, nous retrouvons d’abord Adeline et Olivier, qui viennent de Strasbourg, puis Klaus qui vient de Bazièges (Toulouse) et a passé la nuit à Paris : la troupe est au complet.
  
 
Moment de vérité lors de la pesée des sacs  à l’enregistrement ; je gagne le concours de la légèreté avec 7,2 kg mais je n’ai ni eau ni ravitaillement. Petit problème : le parapluie de Didier n’a droit ni à la soute, ni à la cabine et pourtant il y tient à son parapluie. Bon, il faut céder aux insistances de la dame. Mais il n’abandonne pas le parapluie. Au contrôle de sécurité de la salle d’embarquement, on nous fait enlever nos chaussures, on oblige Josette à laisser sa bouteille d’eau (dans laquelle cependant elle a droit de venir boire) et…Didier passe son parapluie sans problème ! Heureusement car, grâce à notre parapluie fétiche, nous n’avons pas vu la pluie pendant notre randonnée, sauf une fois, une nuit, quand nous dormions dans le bateau !
 
Moment de vérité lors de la pesée des sacs  à l’enregistrement ; je gagne le concours de la légèreté avec 7,2 kg mais je n’ai ni eau ni ravitaillement. Petit problème : le parapluie de Didier n’a droit ni à la soute, ni à la cabine et pourtant il y tient à son parapluie. Bon, il faut céder aux insistances de la dame. Mais il n’abandonne pas le parapluie. Au contrôle de sécurité de la salle d’embarquement, on nous fait enlever nos chaussures, on oblige Josette à laisser sa bouteille d’eau (dans laquelle cependant elle a droit de venir boire) et…Didier passe son parapluie sans problème ! Heureusement car, grâce à notre parapluie fétiche, nous n’avons pas vu la pluie pendant notre randonnée, sauf une fois, une nuit, quand nous dormions dans le bateau !

Version du 10 juin 2008 à 09:52



jeudi 29 mai, Lille ‒ Fort William

Rendez-vous à Lille Europe à 8 h 30 pour un départ en TGV vers Charles de Gaulle à 8 h 46. Josette téléphone à Patrick qu’elle ne sera pas en avance… Elle arrive sur le quai quand les portes vont se fermer, le contrôleur la fait monter dans la 1° rame ; il lui faudra descendre à Douai pour retrouver les copains dont les place se trouvent dans l’autre rame. Quant à moi, je monte normalement à Arras, venant de Lens. A Charles de Gaulle, nous retrouvons d’abord Adeline et Olivier, qui viennent de Strasbourg, puis Klaus qui vient de Bazièges (Toulouse) et a passé la nuit à Paris : la troupe est au complet.

Moment de vérité lors de la pesée des sacs à l’enregistrement ; je gagne le concours de la légèreté avec 7,2 kg mais je n’ai ni eau ni ravitaillement. Petit problème : le parapluie de Didier n’a droit ni à la soute, ni à la cabine et pourtant il y tient à son parapluie. Bon, il faut céder aux insistances de la dame. Mais il n’abandonne pas le parapluie. Au contrôle de sécurité de la salle d’embarquement, on nous fait enlever nos chaussures, on oblige Josette à laisser sa bouteille d’eau (dans laquelle cependant elle a droit de venir boire) et…Didier passe son parapluie sans problème ! Heureusement car, grâce à notre parapluie fétiche, nous n’avons pas vu la pluie pendant notre randonnée, sauf une fois, une nuit, quand nous dormions dans le bateau !

Le décollage sur un avion Easy jet est prévu à 12 h 15. Pas de problème. Arrivée à Glasgow à 13 h 30, avec une heure de décalage horaire (nous allons vers l’Ouest). Nous prenons le bus à 15 h pour Fort William, au Nord de Glasgow. Nous avons le temps de prendrfe café et jus de fruit à l’aéroport, d’où part le bus. Trois heures de bus parfois par autoroute souvent par une route étroite et sineuse où le bus et un camion ne peuvent se croiser que si l’un est à l’arrêt et l’autre au pas, mais des paysages de Highland extraordinaire, qui nous donnent des envies de randonner : rochers, moutons, genêts et ajoncs, lacs ; des azalées en fleurs roses, mauves, blanches tout le long de la route ; d’abord des forêts de feuillus, puis quand nous montons de plus en plus au Nord, des résineux, et des sommets pelés. Nous avons là un aperçu des paysages que nous traverserons. Un arrêt de 5 mn au milieu de nulle part : Klaus trouve quand même le moyen de dénicher un café et un gâteau sec ! Arrivée sans pb à Fort William, à 18 h 30. Nous nous orientons correctement (il valait mieux !) et menons notre troupe vers l’Auberge de jeunesse : les trois kilomètres permettent à chacun /chacune d’apprécier le poids de son sac…

Repas et nuit à l’auberge.