Différences entre les versions de « GR5 (printemps 2019)/parcours effectué/j16 »
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Départ après le petit-déjeuner, vers sept heures trente, pour rejoindre le refuge de Plan Sec. Retour sur des chemins connus, parcourus pendant des années, mais qui ont toujours le même charme et qui procure la même joie. | Départ après le petit-déjeuner, vers sept heures trente, pour rejoindre le refuge de Plan Sec. Retour sur des chemins connus, parcourus pendant des années, mais qui ont toujours le même charme et qui procure la même joie. | ||
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Nous rencontrons René, jeune homme de près de quatre-vingts ans, qui passe des jours dans un ancien chalet d'alpage et court la montagne pour admirer fleurs, animaux et roches et les photographier. | Nous rencontrons René, jeune homme de près de quatre-vingts ans, qui passe des jours dans un ancien chalet d'alpage et court la montagne pour admirer fleurs, animaux et roches et les photographier. | ||
| − | Bientôt le refuge se montre. L'orage promis n'a pas éclaté. Accueil, toilette à l'ancienne | + | Bientôt le refuge se montre. L'orage promis n'a pas éclaté. Accueil, toilette à l'ancienne − les douches sont indisponibles −, lessive, bière, devoirs de vacances dans la magnifique salle à manger du nouveau bâtiment construit il y a peu, repas et repos... |
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Version du 21 juillet 2019 à 17:26
mercredi 3 juillet, du refuge du Fond d'Aussois au refuge de l'Arpont
Départ après le petit-déjeuner, vers sept heures trente, pour rejoindre le refuge de Plan Sec. Retour sur des chemins connus, parcourus pendant des années, mais qui ont toujours le même charme et qui procure la même joie.
Après avoir longé les deux lacs de Plan d'Amont et de Plan d'Aval, nous passons devant Plan Sec ; le sentier en balcon nous emmène vers Grasse Combe, la Tura et la Loza. Puisque les prévisions météorologiques prévoient des orages à quatorze heures, le rythme est rapide. Le paysage défile lentement. Vers le sud, Mont Thabor et Barre et Dôme des Écrins font leurs adieux ; vers l'est, les vallons se succèdent ; vers l'ouest, la Dent Parrachée nous montre son plus beau visage, paradant devant les Glaciers de la Vanoise.
Nous rencontrons René, jeune homme de près de quatre-vingts ans, qui passe des jours dans un ancien chalet d'alpage et court la montagne pour admirer fleurs, animaux et roches et les photographier.
Bientôt le refuge se montre. L'orage promis n'a pas éclaté. Accueil, toilette à l'ancienne − les douches sont indisponibles −, lessive, bière, devoirs de vacances dans la magnifique salle à manger du nouveau bâtiment construit il y a peu, repas et repos...
