Différences entre les versions de « The Great Glen Way Route (printemps 2008)/technique »

De Entre Amis
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Patrick avait prévu la descente par l’Ouest du Ben Nevis, mais cela nous ferait faire un grand détour pour rejoindre notre hébergement et le parcours valait plus comme solution de repli si les conditions météo nous avaient empêché de monter au sommet du Ben Nevis.  
 
Patrick avait prévu la descente par l’Ouest du Ben Nevis, mais cela nous ferait faire un grand détour pour rejoindre notre hébergement et le parcours valait plus comme solution de repli si les conditions météo nous avaient empêché de monter au sommet du Ben Nevis.  
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Nous descendons par le même chemin qu’à l’aller mais vers la fin nous obliquons vers la route de Fort William ; il faut encore traverser la ville pour aller de l’autre côté : la carte indique qu’il y a des écluses qui doivent permettre un passage à pied, mais il est tard, la journée a été très longue, nous ne connaissons pas encore la configuration du parcours ; nous envisageons de prendre la route, mais Patrick questionne un cyclo-randonneur qui vient de franchir les écluses. Nous nous engageons donc le long de l’estuaire, arrivons aux écluses qui sont effectivement traversables pour els piétons et les cyclistes (ce qui sera le cas tout le long du parcours). Là est amarré un bateau qui accueille des cadets de la Royal Navy : un coup d’œil assez rapide car nous voulons atteindre notre hébergement, un « guest house », ce qui est chose faite sans problème. Nous cherchons un pub dans les environs : les indications qu’on nous donnent sont peu fiables, nous revoilà près de nos cadets, des parents et de l’encadrement, des messieurs en cravate et costume, fort distingués  dont l’un parle admirablement français et passe ses vacances (ou tient un hotel à  Samoens…le monde est petit ! Nous aurons d’autres occasions de la constater. Nous discutons sur les cadets (garçons et filleuls qui font un stage d’une semaine sur un bateau, ce qui leur fait paraît-il beaucoup de bien –mais ça a l’air d’être des jeunes d’un certain milieu….Quelques indications pour un pub : le 1°ne sert que de la boisson, le second est fermé. Décisions prise : nous envoyons nos troupes boire une bière ou autre au pub pendant que nous faisons les courses pour faire le repas du soir : entrée avec pain anglais, pâtes avec sauce, yaourt, vin blanc. Retour au Bunkhouse : une équipe fait la cuisine, les autres prennent la douche. Problème qui n’en est as un : on nous dit qu’il est interdit d’apporter de la boisson alcoolisée de l’extérieur : nous transformons notre vin blanc en innocente boisson servie dans des mugs. Et mangeons de très bon appétit.
 
Nous descendons par le même chemin qu’à l’aller mais vers la fin nous obliquons vers la route de Fort William ; il faut encore traverser la ville pour aller de l’autre côté : la carte indique qu’il y a des écluses qui doivent permettre un passage à pied, mais il est tard, la journée a été très longue, nous ne connaissons pas encore la configuration du parcours ; nous envisageons de prendre la route, mais Patrick questionne un cyclo-randonneur qui vient de franchir les écluses. Nous nous engageons donc le long de l’estuaire, arrivons aux écluses qui sont effectivement traversables pour els piétons et les cyclistes (ce qui sera le cas tout le long du parcours). Là est amarré un bateau qui accueille des cadets de la Royal Navy : un coup d’œil assez rapide car nous voulons atteindre notre hébergement, un « guest house », ce qui est chose faite sans problème. Nous cherchons un pub dans les environs : les indications qu’on nous donnent sont peu fiables, nous revoilà près de nos cadets, des parents et de l’encadrement, des messieurs en cravate et costume, fort distingués  dont l’un parle admirablement français et passe ses vacances (ou tient un hotel à  Samoens…le monde est petit ! Nous aurons d’autres occasions de la constater. Nous discutons sur les cadets (garçons et filleuls qui font un stage d’une semaine sur un bateau, ce qui leur fait paraît-il beaucoup de bien –mais ça a l’air d’être des jeunes d’un certain milieu….Quelques indications pour un pub : le 1°ne sert que de la boisson, le second est fermé. Décisions prise : nous envoyons nos troupes boire une bière ou autre au pub pendant que nous faisons les courses pour faire le repas du soir : entrée avec pain anglais, pâtes avec sauce, yaourt, vin blanc. Retour au Bunkhouse : une équipe fait la cuisine, les autres prennent la douche. Problème qui n’en est as un : on nous dit qu’il est interdit d’apporter de la boisson alcoolisée de l’extérieur : nous transformons notre vin blanc en innocente boisson servie dans des mugs. Et mangeons de très bon appétit.
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Version du 14 juin 2008 à 17:30

Les dix jours de randonnées

Image033.jpg


  • jour 1 : jeudi 29 mai ; Voyage avion et bus

Rendez-vous à Lille Europe à 8 h 30 pour un départ en TGV vers Charles de Gaulle à 8 h 46. Josette téléphone à Patrick qu’elle ne sera pas en avance…Elle arrive sur le quai quand les portes vont se fermer, le contrôleur la fait monter dans la 1° rame ; il lui faudra descendre à Douai pour retrouver les copains dont les places se trouvent dans l’autre rame. Quant à moi, je monte normalement à Arras, venant de Lens. A Charles de Gaulle, nous retrouvons d’abord Adeline et Olivier, qui viennent de Strasbourg, puis Klaus qui vient de Bazièges (Toulouse) et a passé la nuit à Paris : la troupe est au complet.




Moment de vérité lors de la pesée des sacs à l’enregistrement ; je gagne le concours de la légèreté avec 7,2 kg mais je n’ai ni eau ni ravitaillement. Petit problème : le parapluie de Didier n’a droit ni à la soute, ni à la cabine et pourtant il y tient à son parapluie. Bon, il faut céder aux insistances de la dame. Mais il n’abandonne pas le parapluie. Au contrôle de sécurité de la salle d’embarquement, on nous fait enlever nos chaussures, on oblige Josette à laisser sa bouteille d’eau (dans laquelle cependant elle a droit de venir boire) et…Didier passe son parapluie sans problème ! Heureusement car, grâce à notre parapluie fétiche, nous n’avons pas vu la pluie pendant notre randonnée, sauf une fois, une nuit, quand nous dormions dans le bateau !

Nous sommes dans le train
La troupe à Charles de Gaules

Le décollage sur un avion Easy jet est prévu à 12 h 15. Pas de problème. Arrivée à Glasgow à 13 h 30, avec une heure de décalage horaire (nous allons vers l’Ouest). Nous prenons le bus à 15 h pour Fort William, au Nord de Glasgow. Nous avons le temps de prendre café et jus de fruit à l’aéroport, d’où part le bus. Trois heures de bus parfois par autoroute souvent par une route étroite et sinueuse où le bus et un camion ne peuvent se croiser que si l’un est à l’arrêt et l’autre au pas, mais les paysages de Highlands sont extraordinaires, ils nous donnent des envies de randonner : rochers, moutons, genêts et ajoncs, lacs ; des azalées en fleurs roses, mauves, blanches tout le long de la route ; d’abord des forêts de feuillus, puis quand nous montons de plus en plus au Nord, des résineux, et des sommets pelés. Nous avons là un aperçu des paysages que nous traverserons. Un arrêt de 5 mn au milieu de nulle part : Klaus trouve quand même le moyen de dénicher un café et un gâteau sec ! Arrivée sans pb à Fort William, à 18 h 30. Nous nous orientons correctement (il valait mieux !) et menons notre troupe vers l’Auberge de jeunesse : les trois kilomètres permettent à chacun /chacune d’apprécier le poids de son sac…



Repas et nuit à l’auberge.

Le fameux parapluie
Fichier:IMGP0277.jpg
Le bus vers Fort William
Joelle est en Ecosse !!!
En route vers l'auberge de "jeunesse"
Dur dur la randonnée !!!


  • jour 2 : vendredi 30 mai ; Ben Nevis et ses environs (Glen Nevis)
(soit 23 Km )
Fichier:IMGP0306.jpg
Le départ!!!
Fichier:IMG327.jpg
Première crevaison de Christian !

Beau temps. Départ à allure assez vive…mais la pente qui commence très vite apprend la sagesse. L’enthousiasme nous donne des ailes et nous avalons les 1320 m de dénivelée en 4 h 15 minutes, ce qui n’est pas si mal puisque nous portons nos gros sacs. Des rencontres curieuses : des hommes descendent en kilt

Des écossais
Le sommet

Patrick avait prévu la descente par l’Ouest du Ben Nevis, mais cela nous ferait faire un grand détour pour rejoindre notre hébergement et le parcours valait plus comme solution de repli si les conditions météo nous avaient empêché de monter au sommet du Ben Nevis.


Nous descendons par le même chemin qu’à l’aller mais vers la fin nous obliquons vers la route de Fort William ; il faut encore traverser la ville pour aller de l’autre côté : la carte indique qu’il y a des écluses qui doivent permettre un passage à pied, mais il est tard, la journée a été très longue, nous ne connaissons pas encore la configuration du parcours ; nous envisageons de prendre la route, mais Patrick questionne un cyclo-randonneur qui vient de franchir les écluses. Nous nous engageons donc le long de l’estuaire, arrivons aux écluses qui sont effectivement traversables pour els piétons et les cyclistes (ce qui sera le cas tout le long du parcours). Là est amarré un bateau qui accueille des cadets de la Royal Navy : un coup d’œil assez rapide car nous voulons atteindre notre hébergement, un « guest house », ce qui est chose faite sans problème. Nous cherchons un pub dans les environs : les indications qu’on nous donnent sont peu fiables, nous revoilà près de nos cadets, des parents et de l’encadrement, des messieurs en cravate et costume, fort distingués dont l’un parle admirablement français et passe ses vacances (ou tient un hotel à Samoens…le monde est petit ! Nous aurons d’autres occasions de la constater. Nous discutons sur les cadets (garçons et filleuls qui font un stage d’une semaine sur un bateau, ce qui leur fait paraît-il beaucoup de bien –mais ça a l’air d’être des jeunes d’un certain milieu….Quelques indications pour un pub : le 1°ne sert que de la boisson, le second est fermé. Décisions prise : nous envoyons nos troupes boire une bière ou autre au pub pendant que nous faisons les courses pour faire le repas du soir : entrée avec pain anglais, pâtes avec sauce, yaourt, vin blanc. Retour au Bunkhouse : une équipe fait la cuisine, les autres prennent la douche. Problème qui n’en est as un : on nous dit qu’il est interdit d’apporter de la boisson alcoolisée de l’extérieur : nous transformons notre vin blanc en innocente boisson servie dans des mugs. Et mangeons de très bon appétit.

Fichier:IMG359.jpg
La descente
Josette (derriére le sac à dos !!!)
Une petite pause

AG : tenant compte de l’état de fatigue des troupes, nous proposons deux options pour le lendemain : soit visite de la distillerie mais détour vers Fort William donc 6 Kms de plus, soit trajet direct le long du canal calédonien. A l’unanimité, c’est l’option distillerie qui est choisie (nous sommes encore naïfs).


  • jour 3 : samedi 31 mai ;Fort William- Spean Bridge (Gailorchy)
(6 Km aller retour vers la distillerie +17 km des écluses de Neptune jusqu’à l’écluse de Gairlochy)

Beau temps. Petit déjeuner écossais, bien servi. Nous avions des doutes : il n’a pas été possible de savoir la veille ce qui nous serait préparé…Seule la confiture est à éviter : visiblement les randonneurs font eux-mêmes leur petit déjeuner et cette confiture n’avait été ouverte depuis très longtemps.

Départ 9 heures pour la distillerie.

Nous devons attendre la visite de 11 heures. Visite en anglais. Certains comprennent tout, d’autres moins, d’autres très peu…Dégustation et achat d’une bouteille pour la route (le soir)…

C'est bon !!
Le canal Calédonnien
Pause déjeuner rapide (medgees) à l’aqueduc de Shengain

Départ de la distillerie à 12 h 30. Nous prenons le début du canal calédonien et passons aux écluses de Neptune. Puis nous cheminons sur un sentier large et quasiment plat, le long du canal.

Arrêt à 13 h 30 pour une pause déjeuner rapide (medgees) à l’aqueduc de Shengain qui fait passer l’eau d’une rivière sous le canal calédonien ; il y a aussi un passage pour les piétons et vélos.

A 16 h arrivée à l’écluse de Gairlochy, puis au B & B où nous attend une charmante dame anglaise, veuve, qui complète ses revenus avec cette activité d’hôtesse. Sur le perron, elle nous explique que sa vieille mère fait la sieste ; elle nous conduit chacun/chacune à nos chambres : très beau, très propre très confortable. Il faut aussi nous dit-elle faire attention au chat, qui pèse 7 kg, n’aime pas être caressé par les hôtes et a tendance à vouloir entrer dans les chambres…Pendant que certains prennent leurs douche, Patrick se fait conduire au village en voiture pour chercher du ravitaillement en boisson et nous prenons le soleil sur la terrasse de la dame, qui nous apporte des sièges… Repas somptueux le soir,à 19 heures, avec des produits du jardin, que nous avons visité : dans des petits bacs rempli de compost elle fait de la culture sinon écolo du moins raisonnée (« la carotte aime la fraise ») : potage au lentilles, saumon avec légumes du jardin, pain au beurre aillé, crème à la rhubarbe du jardin, puis thé ou tisane ou café.

  • jour 4 : dimanche 1er juin ;Spean Bridge (Gailorchy) - South Laggan
(22 Kms)

Petit déjeuner de même nature : d’abord céréales de toutes sorte, confiture, croissant, pain grillé, puis déjeuner écossais, fruits…Nous sommes lesté pour la journée. Nous prenons la route vers 9 h, en longeant le Loch Lochy vers un hébergement qui nous surprendra..

  • jour 5 : lundi 2 juin ;South Laggan-Fort Augustus - Invermoriston
(32 Kms   it's a long long day....)
  • jour 6 : mardi 3 juin ;Invermoriston-Drumnadrochit


  • jour 7 : mercredi 4 juin ;Drumnadrochit – Inverness


  • jour 8 : jeudi 5 juin ; Inverness et Edinburgh


  • jour 9 : vendredi 6 juin ;Edinburgh


  • jour 10 : samedi 7 juin.Retour en France par l'avion de 9h10 Edinburgh, arrivée à Lille à 15h59 gare de Lille Europe