Théâtre 2010

De Entre Amis
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Je veux voir Mioussov

« Le Grenier », la troupe du Foyer Rural de Magnicourt-en-Comté, présente, le samedi 24 avril, Je veux voir Mioussov une comédie en deux actes de Valentin Kataïev et mise en scène de Jacqueline Guillemant. La salle Vox, avenue Jean-Baptiste Lebas à La Bassée, ouvrira ses portes à 19 heures 30 et lla représentation commencera à 20 heures précises.

Les billets sont en vente ici :

  • boulangerie Delmaere, place Lefèvre d'Orval , tél. 03 20 29 18 53 ;
  • institut de beauté Marie-Charlotte, 86 rue du Général Leclerc, tél. 03 20 29 00 70,

au prix de 8 €, 5 € pour les enfants accompagnés de moins de 12 ans.

L'affiche de Jean-Michel, télécharger
Le flyer recto, télécharger
Le flyer verso, télécharger

La Voix du Nord en parle

Le lundi 3 mars 2010, La Voix du Nord présentait la nouvelle production du « Grenier ». On y lisait sous la plume de Benjamin Dubrulle :


La troupe de théâtre Le Grenier se plonge dans l'URSS des années 50


Dernière ligne droite pour les membres de la troupe de théâtre Le Grenier. Le vendredi 19 mars aura lieu la première représentation de leur nouvelle pièce, Je veux voir Mioussov, comédie en deux actes de Valentin Kataïev. L'heure est aux ultimes répétitions.
En ce dimanche venteux, les neuf comédiens de la troupe de théâtre Le Grenier répètent bien au chaud dans la salle communale. Le moment est important. À moins de trois semaines de la première, place aux ultimes répétitions, aux ultimes réglages. Pour cette troupe composée uniquement d'amateurs, la pression commence sérieusement à monter. Même s'ils sont habitués aux planches, l'apprentissage d'un nouveau texte est toujours un défi.
Surtout que de l'avis de Jacqueline Guillemant, la metteur en scène, il faut respecter scrupuleusement le texte, l'improvisation et les erreurs sont à bannir. « Cette année, nous avons choisi Je veux voir Mioussov, une comédie en deux actes de Valentin Kataiëv, explique-t-elle. L'histoire se déroule en URSS dans les années 50. Nous sommes dans une maison de repos. Dans cette pièce, il ne va y avoir que des quiproquos où on ne sait pas qui est qui. C'est un véritable tohu-bohu. » Et donc, pour que les spectateurs entrent dans l'histoire, il ne faut pas se mélanger les pinceaux et se tromper de nom. Un vrai travail de schizophrène…
Débutées en octobre, les répétitions touchent à leur fin. Cette pièce fait plus de deux heures, c'est donc un véritable défi qui attend les neuf comédiens. « Après avoir fait un huis clos avec Virage dangereux en 2008, nous sommes revenus à la comédie l'an passé avec Le Camping des flots bleus. Cette pièce a très bien marché. Les gens veulent rire quand ils viennent nous voir. En plus, c'était une pièce en ch'ti. Les spectateurs ont adoré. » Ils devraient être encore très nombreux à garnir les rangs de la salle communale pour les neuf représentations qui sont au programme. Mais en attendant, place aux dernières répétitions…